lundi 21 mars 2011

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Parmi toutes les formes d'art existantes - je veux ici parler de la peinture, sculpture, photographie, et non pas évoquer l'Art avec un grand A, comme je l'entends (musique, expressions corporelles, théâtre, cinéma, y compris les formées citées au dessus) - je place la photographie au premier rang.
La peinture, ça ne passe pas vraiment. Je me repose sur toutes les émotions et sensations que je peux ressentir face aux arts. C'est bien beau de parler technique, renouveau, originalités; moi, si je ne ressens rien, ça le fait pas. Et c'est ce qui arrive pour la peinture, même si j'essaie pourtant de m'y intéresser.
La photographie, quant à elle, m'épate, car elle montre beaucoup plus la réalité, car c'est me rappeler à travers les clichés la beauté qui nous entoure. Ce que j'aime, c'est la netteté des traits et des couleurs, leur éclat, le travail de lumière, les contrastes, les paysages, moments et portraits sublimés.

Bref, tout ce bavardage pour vous présenter, sinon vous rappeler, le travail de David Burnett, américain, qui a travaillé pour de nombreux magasines, mais plus connu pour ses séries de portraits de Présidents. Pas un seul Président américain ne manque à son tableau de chasse d'ailleurs. Il parcourt le monde depuis quarante ans, saisi des clichés de personnalités variées, et réalise des reportages. Il y a une sorte de sincérité qui se dégage de ses photos, en partie due au fait qu'il ne met pas en scène, ce sont juste des moments privilégiés qu'il fige précieusement.




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